L’alimentation des chevaux est l’élément clé pour un cheval en bonne santé.

Pour l’alimentation des chevaux, nous nous appuyons sur de bonnes bases. Nous proposons du foin, de l’ensilage, de la paille, des cubes de maïs ainsi que des cubes d’herbe.

 

Tous ces produits sont produits sur notre exploitation.  Ceci signifie que ces aliments parcourent une distance très courte ce qui contribue ainsi à la durabilité de notre exploitation. Seuls les aliments concentrés et les pierres à lécher proviennent de fournisseurs.

Nos pâturages et nos aliments sont soumis à des contrôles réguliers qui sont toujours très bien notés.

La production

La qualité est la priorité absolue dans la production de nos aliments pour chevaux. Le temps de coupe, le type de traitement, l’utilisation de machines modernes ainsi qu’un stockage adéquat sont pour nous des impératifs.

Nous sommes heureux que le travail confié à l'extérieur soit réalisé à notre entière satisfaction par l’association d’exploitations Schöpfer, Stadelmann et Fasel.

Achats d’aliments

 

 

Pour l’achat d’aliments concentrés et de minéraux, nous nous référons à des fournisseurs régionaux. Comme nous disposons de très bons aliments, nous n’avons pas besoin de remèdes miracles pour les chevaux.

Adaptations spéciales

 

Nous proposons toujours des solutions pour les chevaux ayant divers problèmes. Par exemple, nous possédons deux boxes terrasse adaptés à des chevaux sensibles à la poussière en raison de faiblesses pulmonaires.

 

Selon les demandes, nous leur donnons du foin humide ou de l’ensilage produits par nos soins. Leur litière est constituée de farine de paille légèrement humide. Afin d'éviter tout contact avec la poussière, le nettoyage des litières se fait uniquement quand les chevaux sont au pâturage. De plus, le foin et la paille ne sont pas stockés dans le bâtiment de ces deux boxes et une entrée séparée est présente afin d’éviter de marcher dans les zones de foin et de paille.

Coliques et autres problèmes d’alimentation

 

 

Grâce à la qualité élevée de nos aliments, nous avons la chance de rencontrer très rarement des chevaux souffrants de coliques, de fourbures ou d’autres maladies liées à l’alimentation. (2 fourbures  en 33 ans, 3 coliques au cours des 10 dernières années)